Mobutu Nzanga se préoccupe du social des magistrats

Dans une audience accordée, le vendredi 13 mars 2009, à la délégation de l’Intersyndical des magistrats, le vice-Premier ministre en charge des Besoins sociaux de base, Mobutu Nzanga, a prêté une oreille attentive aux préoccupations sociales des magistrats. Conduite par Me Voka Yadiko, la délégation de l’Intersyndical des magistrats était composée de représentants de deux syndicats, à savoir : Syndicat chrétien des magistrats du Congo (Synchremac) et Syndicat interdépendant des magistrats (JUSI).

« Nous sommes venus nous entretenir avec le vice-Premier ministre sur le social des magistrats, car nous sommes, nous aussi, citoyens de ce pays, bien que magistrats », a déclaré le président du Syndicat chrétien des magistrats du Congo.

Me Voka n’a pas donné d’autres détails sur leurs desiderata. Il a par contre affirmé que la réponse de leur hôte a été « positive ». « Nous en sommes très contents », a avoué ce juge du Tribunal de paix de Matete.

Dans sa démarche, le président de Synchremac était accompagné de Me Henri Dianda, juge, vice-président du Syndicat chrétien des magistrats du Congo et de Me Archange Kapebu Kabangu, magistrat, président provincial ville de Kinshasa/Syndicat indépendant des magistrats.

Source: le Potentiel/Kinshasa

Comments

[ngoy fabiola]

Bonjour,
Je me suis toujours demandé en regardant les congolais qui vivent à l'étranger pourquoi nous n'évoluons pas. En lisant ce commentaire je viens de comprendre que l'acquisition de démocratie congolaise est le droit à l'insulte constante. Nous sommes des polytraumatisés qui ne savons pas avancer sans mettre la faute à toutes sortes d'interférences. Nous vivons des projections constantes qui font que les insultes deviennent des excuses à un dynamisme concret et constructif dans toutes sortes de domaines. Ceux qui insultent les mobutstistes et les progressistes ne prennent pas le risque d'entreprendre des projets sur la voie publique. Nous nous cachons derrière des fausses condescendances à l'étranger en toisant les autres africains quand on est sapé et quand on danse. Quand quelqu'un a le courage de ses opinions et assume ses actes, on se précipite pour le maudire et vouloir lui faire porter le fardeau d'une autre génération. On veut toujours dépendre pour avancer et avoir des boucs émissaires en cas d'échec. Ce commentaire est triste car il reflète le congolais aigri, en retard et revanchard.Arrêtons de donner à la nouvelle génération l'obsession de rester des losers figés dans le temps et au lieu des bulldozers qui transcendent les modes et qui détruisent les choses inutiles. Les pasteurs sont défroqués, les filles complètement hypothéquées, les hommes émasculés et les enfants désabusés. Voyez-vous ce genre de mentalité est à contre sens du message que nous avons re¸¸cu avec l'élection de Barack Obama que nul race est maudite et peu importe notre histoire ou notre camp, l'avenir est un mystère qui peut encore confondre toute la planète. Alors les malédictions d'individus peu courageux....c,est à réviser,mais si cela vous fait vivre heureux...cela vous appartient. Ne mettez pas votre pauvre estime de vous en tant que congolais à l'étranger comme carte d'identité pour tous les congolais.sachez que il y a de plus en plus de congolais émergeant qui réussissent bien et qui sont respectables et respectés.

[Parfait Lokanga]

Toi, petit Nzanga,
Ces gens qui ont humilié ton père sont devenus aujourd'hui tes complices. Tu tisses des alliances avec eux pour la paupérisation de la population congolaise. Nous savons que ta famille n'a jamais aimé le rd Congo. Aujourd'hui, partout où les Congolais passent à l'étranger, quelle honte de déclarer sa nationalité! Au lieu de lutter pour recouvrer l'honneur de ton père bafouée par ces assassins venus d'on ne sait où, toi, pauvre de toi, tu t'allies à eux et tu signes. Malheur à toi car tu seras de ceux qui vont payer pour le malheur des Congolais.
Tu retourneras à l'exil même si aujourd'hui tu te repens etlà,tu mourras malheureux,comme ton père.
DURA LEX SED LEX